Géopolitiques de Nantes

  Les intervenants Christine Dugoin-Clément est chercheuse à la Chaire risques de l’Institut...

Intervenants : Marie Dumoulin : Dirige le programme « Europe élargie » du Conseil européen ECFR...

Loin de trouver une solution, le conflit israélo-palestinien semble a contrario continuer de se...

S’adapter et atténuer le changement climatique, tels sont les défis majeurs que doit relever...

Le 22 février 2022, l’Europe a compris que sa sécurité pouvait être menacée. Les populations...

Des compétitions sportives internationales aux petites fédérations locales, de la guerre en...

La notion de sobriété énergétique est longtemps restée impensée et indéfinie. Il n’existe aucun...

2023, l’année du centenaire de la fondation de la République de Turquie est marquée par des...

Comment définir le concept d’Indo-Pacifique ? – En quoi l’Indo-Pacifique...

La conférence a débuté par une mise en perspective des différents enjeux autour du sujet «...

Le changement pourrait se faire par un durcissement. Poutine pourrait notamment être remplacé par Nicolaï Patrouchev qui est plus dur que Poutine. Le dirigeant russe actuel est soutenu car il est garant pour les élites d’un certain mode de vie. Si cela n’est à l’avenir plus le cas, les choses pourraient changer. Il pourrait y avoir un mécontentement populaire qui serait un prétexte pour les élites afin d’intervenir pour un changement politique.

Géopolitiques de Nantes – Information et désinformation en temps de guerre Intervenants :...

Leçon inaugurale, festival Les Géopolitiques de Nantes, 23 septembre 2022 Pascal Boniface  ...

L’importance du thème de la géopolitique de la nature qui, alors même qu’elle est souvent réduite à un décor selon les valeurs occidentales (« l’environnement »). Cela  affecte par le biais de manifestations physiques (canicules, sécheresses, incendies, inondations) et est renforcé sous l’influence du changement climatique et des phénomènes sociaux (6ème extinction de masse). Une sixième des neuf limites planétaires a été franchie, la chercheuse évoque une « crise écologique ».